J’ai fait la connaissance de Serge Benoit, il y a six ans, lorsqu’il s’est installé à la « Cité Fleurie ».
Quand j’ai eu l’occasion de voir son travail, j’ai été frappé par une certaine similitude de nos recherches respectives.
En même temps, j’ai trouvé une grande maîtrise de travailler les différents matériaux, tels le bois, le métal et la pierre. Le concept, plus ou moins précis, de ce qu’il a l’intention de faire, reste pour lui un guide qui lui dicte où commencer et où terminer son travail.
Le passage de Serge Benoit à l’art abstrait a été une suite logique et à force de travail il a approfondi son sens du rythme et des proportions.
J’ai confiance dans l’œuvre de Serge Benoit, et je crois en l’avenir de son travail.